• Au nom de l' économie, on en vient à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale..sécuritaire,sanitaire

     

     

     

      Au nom de l' économie, on en vient à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale..sécuritaire,sanitaire 

     

     

    Le « libre-échange » au dessus de toute autre valeur.

    Un seul courant de pensée,une seule doctrine appliquée de force au monde entier .

    Il ne peut y avoir de souveraineté,d’indépendance, de choix démocratiques dans une telle situation.

    Le désintérêt de la population pour les partis politiques est une réaction naturelle.Le programme va dans le même sens que celui d’en face, plus personne ne se reconnaît dans ces « projets » qui immanquablement aboutissent au même formatage ,entraînent les mêmes « réformes » 

    Le « libre-échange » ne connaît plus de frontières géographiques, ni de séparations entre les sphères dans la société.

     

     Une logique de l’illimitation imposée dans tous les domaines. Tout individu est appelé à devenir lui-même « capital humain » ; tout élément de la nature est regardé comme ressources productives ; toute institution,services publics sont considérés comme instrument de production.

    La crise devient  le mode effectif de la  gouvernance néolibérale  au sein duquel tous les obstacles lui sont des opportunités pour y aller de sa propagande,sanitaire,économique,etc

    La liberté de mouvement du « libre-échange » implique des politiques favorables ,ce qui est à la base des politiques de l’offre, menées par tous les gouvernements dans le cadre de la mondialisation.

    Si le présent est « mondial », notre vécu est l’époque du plein emploi, de l’État du service public,des acquis sociaux,des soins et médicaments remboursés, lorsque les forces du marché étaient encore tenues en lisière par la politique nationale.

    Ce  grand tournant de la mondialisation  s’est imposé très largement, à partir des années 1990,découlant de la chute du mur de Berlin.

    Il domine actuellement ,y compris dans l’espace public , où il constitue le schéma  central  du déclin de la Souveraineté nationale, des acquis  et donc de la France.

    Un projet  néo-libéral qui, en dérégulant l’économie et en attaquant l’État social, met en péril l’État lui-même et la Souveraineté de la Nation.

     

     

    A la chute du mur de Berlin,en 1989,

      le champ est laissé libre à une économie de marché planétaire

    C’est donc  le  capital  qui profite d’un monde ouvert, dans lequel il peut faire circuler son argent comme bon lui semble et profiter des opportunités de rendement ou de taxation favorables. La chute du Mur de Berlin a signé la victoire du banquier.

    La décennie 1990 a d’une part enclenché la plus forte vague historique de reculs sociaux en Europe et dans le monde.De nos jours 87 millions d'Européens vivent sous le seuil de pauvreté, soit plus d'un habitant sur 6:Pauvreté : 87 millions d'Européens touchés. En France, en Allemagne, où À 15,9%, le taux de pauvreté  a atteint en 2020 une valeur historique. 

    Pas une « réforme » imposée par une caste dominante qui n’ait été rendue possible par l’inversion cataclysmique du rapport de force en faveur du pouvoir des capitaux, et au détriment des peuples : privatisations, coupes dans la protection sociale, montée phénoménale de la pauvreté, limitations drastiques des droits des salariés  – mais aussi mise sous le boisseau de la démocratie ( par l’inversion des référendums portant sur l’intégration européenne).

    En France, les organes du dirigisme d’État sont devenus des leviers de la rationalité européenne ..

    Le système oligarchique s’accompagne d’une tendance à l’interdiction de penser qu’il puisse exister une autre logique politique. Le projet néolibéral restreint la démocratie par des règles réduisant les choix politiques. « Au cœur du projet néolibéral, il y a un antidémocratisme foncier qui procède d’une volonté délibérée de soustraire les règles du marché à l’orientation politique des gouvernements en les consacrant comme règles inviolables s’imposant à tout gouvernement, quelle que soit la majorité électorale dont il est issu.

      Au nom de « l' économie », on en vient aisément à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale..sécuritaire,sanitaire .

    La pandémie,a servi de  prétexte pour restreindre les droits des citoyens,en France y compris.

     

    Usage excessif de la force, atteintes à la liberté d'expression, surveillance redoublée… la plupart des restrictions de liberté sont illégales ou disproportionnées.

    Pendant le printemps 2020, en France, pas moins de 1,1 millions de contraventions ont été dressées pour non respect du confinement. Deux tiers d’entre elles étaient liées à un défaut d’attestation de déplacement.

    Dans une décision du 22 décembre 2020, le Conseil d'Etat affirme que le formulaire d'attestation de déplacement dérogatoire n'avait pas de valeur .

    En France, les forces de l’ordre ont réalisé près de 21 millions de contrôles et dressé pas moins de 1,1 million de contraventions. Au minimum, 150 millions d’euros de recettes ont été récoltées par l’État par le biais de ces contraventions.

    Combien de personnes vont demander le remboursement de leur contravention ?

    Si vous sortiez de de votre domicile sans être muni d'une attestation dûment remplie, vous risquiez une contravention de 4e classe , c'est-à-dire une amende de 135 euros.

    La décision du 22 décembre 2020,rendu par  le Conseil d'Etat , conclu au caractère non obligatoire du document de sortie dérogatoire. "Pendant le confinement, la sortie dérogatoire pouvait être justifiée par tout document"..

    Même pour faire vos courses, il n'était pas nécessaire de recopier à la lettre le formulaire officiel. Une simple déclaration sur l'honneur sur un bout de papier pouvait suffire.

     

    CONTRÔLE DES ATTESTATIONS ET JUSTIFICATIFS: QUAND DARMANIN DONNAIT LA MARCHE À SUIVRE À LA POLICE :

    Gérald Darmanin appellait ses troupes à faire preuve d'une particulière fermeté pour faire respecter les dispositions qui concernent en priorité le couvre-feu, les rassemblements privés de voie publique et la fermeture des établissements recevant du public.

    une notice de la Direction générale de la police nationale (DGPN)  dans laquelle il est expressément indiqué qu'une entrave au couvre-feu ou au confinement doit entraîner une amende de 135 euros, majorée à 200 euros en cas de récidive dans les 15 jours et à 3750 euros et 6 mois de prison après 3 infractions en 30 jours.

    La couverture médiatique a favorisé le pouvoir, la « crise sanitaire »a crée une culture de restrictions. 

     

    Notes:

    L'abdication de la démocratie

    En France,les "réformes" sont des idées importées d'anciennes dictatures

     

    Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités ont pris des mesures de sécurité sévères et des mesures d'urgence pour abolir les libertés les plus fondamentales.

    La France vit elle sous régime autocratique ?...

    CONTRÔLE DES ATTESTATIONS ET JUSTIFICATIFS: DARMANIN ET LA DGPN DONNENT LA MARCHE À SUIVRE À LA POLICE

    Confinement : l’attestation officielle était "non obligatoire", selon le Conseil d’Etat

     

    A Berlin,

    où personne n'est contraint d'accepter la vaccination,

    Plus personne ne veut être vacciné avec Astrazeneca, 100.000 vaccins arrivent à expiration 

     

    Cette situation évoque t'elle une similitude avec la nôtre,où l'on contraint sans scrupule?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    « Vaccination,la réaction immunitaire varie selon les personnesUn rapport interne du ministère de l’Intérieur décrit les manifestations comme " exceptionnelles par leur ampleur" »
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