• La situation se dégrade à l’international ,en défaveur de la France

     

     

    La situation se dégrade à l’international ,en défaveur de la France

     

    Recep Tayyip Erdogan, président de la Turquie, a officiellement appelé au boycott des produits d'origine française ce lundi 26 octobre. Le chef d'État a mis en doute les propos du président Emmanuel Macron sur la laïcité, et sur les caricatures de Mahomet.

     

     

    Le ministère marocain des Affaires étrangères a déclaré dimanche que la diffusion continue de caricatures "offensantes" du prophète Mahomet était un acte de provocation

     

    Il est temps cependant de prendre conscience d’un fléau qui nous guette depuis plusieurs années.

    Les appels au boycott de produits français se  multiplient  dans plusieurs pays du Proche-Orient :Des pays musulmans appellent au boycott de produits français

     

    La tolérance ne peut plus être à sens unique.

    Cette tolérance considérée lorsqu’on est occidental ,comme un signe de société civilisée envers des étrangers ,surtout de culture et de religion différente,n’est pas perçue comme telle,comme on le croirait par tout le monde .

    C’est même interprété comme de la faiblesse .

    Réalisons enfin que notre point de vue n’est pas toujours celui des autres

     En 2015, la France comptait autour de 2 200 mosquées, La grande majorité d'imams est d’origine étrangère. Une population constituée à plus de 80 % de Tunisiens, Marocains, Algériens et Turcs, etc.:Quel est le nombre de mosquées en France en 2020 ?

    L’Europe a déjà donné plus de six milliards à la Turquie.

    La Turquie a même touché un peu plus, selon le décompte que fourni la commission européenne. Sept milliards européens sont déjà entrés dans ses caisses et six milliards supplémentaires doivent lui être versés dans les trois ans qui viennent. Principalement de deux sources : les trois milliards promis pour la gestions des réfugiés, c’est l’accord de l’an dernier, un tiers a déjà été versé et l’instrument d’aide de préadhésion, ce sont des fonds que touche la Turquie depuis 2002 déjà, qui se sont étoffés quand les négociations se sont ouvertes en 2005. Officiellement, ils doivent l’aider à rattraper les standards de l’Union en terme d’environnement, d’innovation, mais aussi de droits de l’homme. C’est écrit dans les textes. La France, compte tenu de sa contribution au budget de l’Europe, a versé à elle seule environ un milliard à la Turquie. Et pour vous donner une idée de l’importance des montants : la Turquie a touché plus d’argent entre 2007 et 2013, que la Slovénie par exemple, pourtant membre de l’Union

    Mais qu’ont-ils financé ces milliards ?

    Depuis 2002, une foule de projets. Ça va de l’alphabétisation des femmes au Kurdistan, à la construction d’infrastructures. Mais en 2009, la Cour des comptes européenne s’était alarmée : impossible d’évaluer l’efficacité de ces programmes gérés par le gouvernement turc. Les critères étaient mal définis et le contrôle insuffisant. Depuis l’information n’est pas beaucoup plus claire, mais le programme se poursuit. Et c’est ce qui paraît le plus surprenant ! Pas question, pour la Commission Européenne, de suspendre ces financements même s’il est manifeste que la Turquie n’intégrera pas l’Union. Les versements se poursuivent peut-être parce que des entreprises européennes sont impliquées dans ces programmes, selon un diplomate, mais aussi parce que cela permet à l’Europe de garder un lien avec certains ministères et que l’on redoute en fait que ce lien soit rompu.

    Concernant le Maroc, de l’autre coté de la Méditerranée 

    La Commission européenne a adopté en 2019 son  programme de soutien financier pour l’année 2020. 289 millions d’euros sont octroyés au Maroc dans le but de soutenir les réformes, le développement intégré, la gestion et la surveillance des frontières, ainsi que le « renforcement du partenariat euro-marocain pour parvenir à une prospérité mutuelle ».

    Le 11 décembre 2019, la « Gardienne des traités européens » avait déjà alloué une enveloppe de 101 millions d’euros d’aide financière au Maroc, grâce au financement du Fonds de crédit d’urgence destiné aux pays africains. Ce qui implique une hausse de la valeur des nouveaux programmes de soutien qui seront dépensés au Maroc avant la fin de l’année prochaine à près de 390 millions d’euros.

    Le rapport de la Commission européenne a spécifiquement identifié les objectifs de cette nouvelle subvention estimée à 289 millions d’euros. Il s’agit en premier lieu d’« améliorer l’accès à l’éducation, à la formation professionnelle pour les catégories sociales vulnérables (habitants du monde rural, personnes en situation sociale difficile, migrants). La Santé publique intervient ensuite, suivie de l’amélioration du fonctionnement de l’Administration, « afin d’accroître la transparence et l’efficacité de la prestation des services publics ». En quatrième position, on trouve un soutien accru aux droits de l’Homme, ajouté à un soutien dit « institutionnel » au Parlement marocain.

    Quant aux objectifs de l’aide allouée le 11 décembre, d’un montant de 101 millions d’euros, le rapport de la Commission européenne indique que l’instance mise sur « le renforcement de la gestion » des frontières terrestres et maritimes, ainsi que celle des aéroports. L’utilisation de nouvelles technologies de détection et l’échange des meilleures pratiques et expériences seront les deux principaux déterminants de la mise en œuvre de ces objectifs, tracés par les deux agences européennes Frontex et Europol.

    De même que le respect des principes des droits de l’Homme et la protection des migrants en situation vulnérable seront une « priorité » de ce programme qui comprend également un budget « formation » sur ces aspects.

    Compte tenu du grand nombre de jeunes et de mineurs marocains non accompagnés en Europe, le programme de la Commission européenne accordera un financement particulier à l’augmentation des campagnes de sensibilisation des jeunes et de leurs familles aux risques de la migration irrégulière. « L’analyse et la collecte de données sur l’immigration dans le cadre du programme contribueront à jeter les bases d’un approfondissement du partenariat et du dialogue avec le Maroc », indique le rapport.

    Selfie avec Merkel. Un réfugié syrien débouté contre Facebook

    Les soutiens de l'UE à la France sont faibles.

    Angela Merkel,  se contente de condamner des propos "diffamatoires" d'Erdogan

    Soutient du bout des lèvres ,pour la forme,avec les millions de turcs,de tunisiens, sur le sol Allemand ; Merkel a les mains liées.

    Cette situation ne peut plus durer ,et les menaces envers la France doivent cesser.

     

    Notes:

    Combien l'Europe a-t-elle déjà donné à la Turquie ?

    Commission européenne: Les détails sur l’aide financière accordée au Maroc

    France - Turquie : Angela Merkel condamne les propos "diffamatoires" d'Erdogan contre Macron

     

    « En France,les "réformes" sont des idées importées d'anciennes dictatures La chute du mur de Berlin,une catastrophe géopolitique et sociale »
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