• Vaccination ?Non merci

    Vaccination ?Non merci

     

    Au total, plus de 11 millions d'euros ont été dépensés par le ministère de la Santé dans des contrats avec des cabinets de conseil privés.

     

     

    Des montants qui choquent,un « pognon de dingue » !...Comme dit le banquier de Rotschild.

    Le contrat le plus onéreux, signé avec le cabinet américain McKinsey, a coûté plus de 3,2 millions d'euros pour la sous-traitance de la logistique du plan de vaccination.

     

     

    Le rejet de la politique  menée par le roitelet arrogant, incompétent, qui ,il n'y a pas si longtemps traitait les français de fainéants,s’exprime maintenant par le mépris des « recommandations » de la Macronie sur le thème de la vaccination.

    Un rejet d’autant plus naturel, que ces vaccins  posent plus de questions qu’ils n’offrent de réponses.

     

    Après plusieurs alertes sur des effets secondaires importants, la campagne de vaccination AstraZeneca a été suspendue à l'hôpital de la Croix-Rouge à Bois-Guillaume.

    Plusieurs personnels soignants de l'hôpital de la Croix-Rouge à Bois-Guillaume ont alerté sur les symptômes conséquents à leurs vaccinations. "Dans la nuit, j'ai eu de gros frissons et de la fièvre. J'ai été couché toute la journée d'hier, raconte Sandrine, secrétaire médicale à l'hôpital, j'étais très contente d'avoir été vaccinée, maintenant j'ai quelques regrets quand même"

    Sur les 20 soignants de l'établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présentés d'importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personne ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca. "Je n'ai aucun souci de santé, je me suis fait vaccinée par précaution par rapport à mes proches et mon travail. Mais avec les effets secondaires, ça ne donne pas envie de faire le deuxième", s'inquiète Amélie, infirmière à l'hôpital de la Croix-Rouge.

    Des effets secondaires indésirables ont été signalés dans plusieurs hôpitaux en France, auprès de personnels soignants vaccinés « AZ », essentiellement des symptômes grippaux.

    Le phénomène a été suffisamment sérieux pour que certains hôpitaux, comme celui de Saint-Lô en Normandie  suspendent leur vaccination.

     Le fonctionnement de l’établissement était affecté par un trop grand nombre de personnes en arrêt maladie après l’injection.

    À l’heure actuelle, certains pays comme les États-Unis n’ont pas encore validé le vaccin AstraZeneca

    La France et l’Allemagne ont du mal à écouler leurs vaccins AstraZeneca

     

    Pour éviter la perte de stock ,les autorités se lancent dans une campagne de réhabilitation.

    « Pour des raisons profondément injustes […] il est considéré comme un peu moins efficace ou carrément moins efficace que les vaccins à ARN comme le vaccin Pfizer ou le vaccin Moderna », explique Alain Fischer, le M. Vaccin du gouvernement français…

     

    Mise à jour : 08/03/2021

    Vaccination ?Non merci

    Une infirmière autrichienne de 49 ans est morte après avoir reçu le vaccin  AstraZeneca quelques jours plus tard des suites de "graves troubles de la coagulation"

    Une de ses collègues, âgée de 35 ans, vaccinée avec le même lot, "a développé une embolie pulmonaire".

     

    Depuis le début des campagnes de vaccination contre le coronavirus, des cas de personnes décédées alors qu'elles avaient reçu peu avant une injection ont été rapportés dans certains pays.

    Covid-19 : un lot de vaccins AstraZeneca écarté en Autriche après la mort d’une infirmière

     

     

     

     

    Notes:

    Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes

    La France et l’Allemagne ont du mal à écouler leurs vaccins AstraZeneca

    Vaccin AstraZeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leurs premières injections

    Covid-19 : le coût faramineux des contrats passés avec des cabinets de conseil privés

    Macron traite certains Français de "fainéants"... et il assume "totalement"

    Vous reprendrez bien un peu de pandémie?

    Les restrictions  «servent d'excuse pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques».  «des avocats, des militants et même des professionnels de la santé ont fait l'objet d'arrestations, de poursuites et de mesures d'intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures 

    ( Antonio Guterres , secrétaire général de l'ONU)

     

    « Vous reprendrez bien un peu de pandémie?Passeport sanitaire : une idée liberticide et infantilisante »
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